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LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges.

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Louis Dickens

Louis Dickens
Date d'inscription : 15/06/2013
Nombre de messages : 221
Multi-comptes : Non,
Copyrights : Elow',
Célébrité : Andrew garfield,
Pseudo : Elow',

Âge du personnage : 27 ans,
Études/Emploi : Rédacteur en chef du journal locale de la ville.
Statut du personnage : Célibataire.


→ AROUND THE LIE.
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Ҩ Vos menteurs préférés:

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MessageSujet: LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges.  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. EmptyDim 15 Sep 2013 - 21:08



Louis Dickens

J'ai plus peur d'être moi, qu'autre chose.

who are you ?
Nom : Dickens. ✚ Prénom : Louis. ✚ Âge, date et lieu de naissance :  3 juillet 1984 dans un village près de Manchester ✚ Statut : Célibataire ✚ Nationalité : Anglais. ✚ Métier/Études : Rédacteur en chef au journal locale. ✚ Groupe : I want to start over.

The departure of the lie
Quelle est pour vous la signification du mot "mensonge" ? ✚ Quand on a peur de la vérité, on utilise le mensonge. Le seul but de mentir c'est de cacher ce qui est vrai. C'est parfois la sortie de secours quand on ne sait pas quoi dire. C'est parfois la seule chose à faire quand on ne veut pas dire ce qui est vrai. C'est aussi parfois la pire façon de trahir ceux qu'on aime. Mentir... on ment constamment. Notre respiration elle-même pourrait être un mensonge si on pouvait arrêter de peindre la vérité avec. Qui n'a pas un jour menti sur sa vie ou sur la soirée de la nuit derrière pour essayer de se mettre en avant ? Il y a dans le mensonge une chose plaisante. C'est une puissance. C'est une façon de nous faire croire qu'on contrôle tout, par le simple billet de cette chose...

À quel moment avez-vous débuté à mentir ? ✚ J'aurais pu dire jamais. Comme toujours. On a fait de moi un mensonge. Ma naissance, mon nom. Mon hospitalisation, sa mort. Je suis un mensonge constamment en train d'affronter la réalité pour survivre et j'étouffe parfois. J'ai toujours menti. Que ce soit enfant pour avoir un bonbon ou que ça soit aujourd'hui pour couvrir la vérité de mon être. Je m'efforce d'être toujours le plus honnête sur qui je suis, mais ignorer certaines questions et en soit une forme de mensonges. Car on refuse de dévoiler la vérité en donnant des réponses. Jamais, toujours. Je suis entre les deux en réalité.

Quelles ont été les conséquences de vos mensonges ? ✚ De n'avoir jamais pu me sentir moi-même, peut importe l'endroit. De ne pas pouvoir parler de mes doutes, de mes craintes à qui que ce soit. De ne pas pouvoir faire confiance pleinement à quelqu'un sachant que je ne pourrais jamais raconter tout ce j'ai sur le coeur. Perdre des amis, des êtres chers, se perdre soi-même sous le poids d'une telle vie. Ignorait ma vie, mon passé, c'est mentir. J'affronte chaque jour les conséquences de mes mensonges et les conséquences de la réalité risque d'être encore plus horrible.

mysterious liar watching you


2010, Non loin de
Manchester.


Le soleil était en train de se lever. Ses pas se faisaient de plus en plus lourds alors qu'il se faisait un chemin dans les bois. La pluie avaient repris, se déversant avec force sur le jeune homme. Il ne pouvait plus distinguer la fumée de la voiture de son père, qui plus tôt venait d'exploser. Voilà un moment qu'il marchait, un moment que le silence régnait dans son esprit. La pluie pouvait tomber, cela n'effaçait pas pour autant le sang sur ses mains qui avaient durci. En sortant des bois, arrivant sur une route à peine éclairé, il suivi un sentier, espérant pouvoir vite tomber sur un lieu connu qui lui permettraient de renter chez lui. Plus vite il rentrerait, mieux c'était. Il se retrouva alors à traverser un cimetière, qu'il apercevait à peine de ses yeux fatigués. Le sommeil commençait à l'atteindre alors qu'il devait être huit heures. C'était une nuit blanche qu'il avait passé, une nuit longue confronté à ce qu'il avait commis. Sortant du cimetière, levant les yeux aux ciels alors que les gouttes de pluies se faisaient plus rares, il entendit le bruit imposant d'une cloche. Essayant de se tenir debout malgré la fatigue, il se dirigea inconsciemment vers l'Eglise qui était là. Il connaissait cette église, c'était celle de ce petit coin où il avait grandi. Plus jeune, sa mère l'y avait amenée...

Cette simple pensée le fit craquait, des larmes coulaient déjà sur son visage. Il tentait de se calmer, de se reprendre, mais à quoi bon ? Il était seul, dans les rues d'un petit village, à une dizaine de minutes en voiture de Manchester. Il n'était plus loin de cet appartement qu'il appelait son chez soi, mais il était avant tout pas très loin de la maison de son enfance. Se dirigeant vers un robinet public à côté de l'Eglise, il tenta de se reprendre. Il trempa son visage d'eau, tentant par la même occasion de retirer les marques sur ses mains. Il avait du mal, mais à force, il se rendit compte que c'était bon. Que ses mains étaient de nouveaux blanches, malgré les rougeurs qui étaient apparus après les frottements. Trempé de la tête au pied, il se décida à retrousser les manches de sa chemise pour ne pas voir les tâches de sangs. Il fit de même avec sa veste, qu'il ferma ensuite pour cacher le reste de sa chemise. Il se coiffa rapidement, mettant ses cheveux en arrière, avant de monter les marches vers l'Eglise. Il entra, créant un bruit sourd avec les portes de l'entrée. L'église était vide, quelques bougies étaient allumées. Il se dirigea vers celles-ci pour allumer à son tour une bougie, qu'il fit dans le plus grand des silences. Il voulut s'asseoir alors, quand il remarqua le confessionnal. Il y entra, sans vraiment savoir si quelqu'un allait venir. Il attendit, assis, un léger moment, sans se rendre compte qu'il s'était endormi. L'église sonna midi quand il ouvrit de nouveau les yeux. Il se réveilla en sursaut, avant d'entendre que quelqu'un entré de l'autre côté.

Il aperçut une forme s'asseoir, il comprit alors que c'était le moment.

« - Pardonnez-moi mon père, parce que j'ai péché. Je... » Ses yeux le brûlaient déjà, il ne savait pas quoi dire, mais il avait ce besoin soudain de devoir en parler. « - J'ai commis l'irréparable. Je suis allé trop loin. J'étais possédé par ma colère, mon père. Je ne voyais plus rien si ce n'est ma haine et je l'ai... Je ne sais pas pourquoi, je ne voulais pas lui faire du mal. Je vous le jure, je ne voulais pas, mais je ne contrôlais plus rien et désormais, je me sens... » Il marqua une pause, levant les yeux aux ciels, essuyant ses larmes. « - J'ai l'impression d'être revenu en arrière. Avant je ne regrettais pas d'avoir tenté d'effacer de ma vie celui pour qui je vouais ma haine, mais maintenant... »

Il ravala sa salive. « - Il a dit que je l'ai tué. Il a dit que j'étais celui qui était responsable pour la mort de maman. Ce n'était pas vrai, je ne pouvais pas le laisser dire ça. Mon père, je ne pouvais pas entendre ça. J'aimais ma mère plus que tout, je ne suis pas responsable de sa mort. C'est Wyatt qui l'a tué, pas moi. Il n'avait pas le droit de me regarder comme ça et de tout me mettre sur le dos. Il n'avait pas le droit alors je l'ai fait taire. Il ne méritait pas de vivre en disant un tel mensonge, n'est-ce pas ? Il ne méritait pas de... Il fallait que je le tue... Il le fallait... Pardonnez-moi, je vous en prie. » En disant ses dernières paroles, il sortit du confessionnal, rapidement, sans se retourner. Il en disait trop. Il en avait trop dit. Il était à deux doigts d'hûrler, mais il se contenta de reprendre la route, tout en essayant de se calmer et de refaire le vide dans son esprit. Plus que jamais, il était en état de choc.

Si il l'avait vraiment fait taire, alors pourquoi entendait-il encore sa voix résonnait en lui ? ▲

Tell us your story


I. MON HISTOIRE NE COMMENCE PAS PAR "IL ÉTAIT UNE FOIS".
PARCE QUE CE N'EST PAS UN CONTE DE FÉE.

« il aura l'étoffe d'un héros ce p'tit ! vous verrez ! »Se plaisait à dire son père quand Louis-Spencer-Henry-Dickens vit le jour. Un prénom pour chaque héros de la famille. Henry comme son grand-père, qui était mort à Pearl Harbor en 1941. Louis, comme le père fondateur des Dickens. Premier d'une grande lignée qui fait partie des plus grands noms de la ville. Spencer, comme celui qui, dans un romantisme total, avait sacrifié sa vie pour sauver son aimé d'un grand incendie. La liste était longue, les Dickens étaient connus dans la ville à cause de leurs noblesses, mais dans le monde - et surtout aujourd'hui - c'était un nom comme un autre. Alors, être l'arrière - on ne sait combien- petit fils d'une telle famille, était sans doute une chose incroyable. Mais surtout elle avait offert à Lous de bien grosse pression sur ses épaules.

Son enfance n'avait donc rien d'une chouette histoire. Il était l'ainé d'une famille nombreuse. Il comptait deux petites soeurs, des jumelles, et un petit frère. Sa mère était morte malade en accouchant de son deuxième petit frère. De toute son enfance il s'était contenté d'être le fils idéal. Il devait montrer l'exemple, alors jamais il ne répondait à son père où refusait une tâche. Il acquiesçait de la tête et faisait ce qui avait à faire. Déjà petit garçon il était trop calme. Ses soeurs ne l'approchaient pas, parce qu'il n'avait jamais de temps à leur consacrer. Il les surveillait quand on lui en faisait la demande, mais c'était tout. Ce qui était important pour lui, était que son père le regarde fièrement. Mais les choses prirent une autre tournure quand son dernier petit frère vit le jour. D'un coup, Louis était laissé de côté. On ne le regardait plus comme un fils, mais juste comme un objet. Limite comme un robot. Les « fait-ça, fait-ci » retentissaient longuement dans la maison. D'un jour à un autre, Louis se sentait oublié, et ce n'était pas qu'une impression. Il n'y avait que sa mère qui s'était occupé de lui, lui apprenant à jouer du piano, à écrire de la poésie et même à cuisiner. Mais c'était rare, puisqu'elle avait deux filles et un autre fils qui avait besoin de son amour et cela, même petit, Louis le comprenait. Cependant, quand elle mourut en accouchant du dernier, il ressentit pour la première fois ce qu'on peut appeler « la haine ».

Après la mort de sa mère, ses soeurs le voyaient désormais comme le grand-frère protecteur, son petit-frère venait souvent le voir pour lui demander de l'aide, mais le dernier. Le dernier il n'osait l'approcher. Il avait peur de Louis. A 14 ans, Louis était le meilleur en tout. Il n'était pas très intelligent, mais les études lui plaisaient. Alors, il s'y investissait à fond. Il voulait être le premier et prouvait que malgré tout, dans toute la famille, le meilleur c'était lui. Avec le dernier de la famille, ils s'étaient retrouvés seul un week-end. Les deux jumelles étaient ailleurs et quant à l'autre petit-frère, il était chez un ami. Son père avait pleine confiance en Louis. Il n'aurait pas dû. Plus jeunes que lui, le dernier était en bas de l'escalier de la maison. L'écart entre son âge et celui de Louis était assez important, alors de ses gros yeux il regardait qui se tenait en haut. Ses affaires d'écoles tombaient un à un dans l'escalier. A genoux il tentait de ramasser ses crayons et autres affaires, mais quelqu'un continuait à retourner son cartable tout en haut de l'escalier. Il leva alors la tête et de ses gros yeux, regarda Louis. Impassible, celui-ci balança le cartable en entier sur son petit frère.

« - Tu ne veux pas jouer ? » il sortit un cutter, et petit à petit fit sortir la lame. On aurait dit qu'il faisait de la musique avec le « clic » répétitif du cutter. « - Non ? Tu es sûr. D'accord. » Louis tendit le bras et lâcha le cutter qui tomba droit sur son petit frère. Juste assez près de son oeil gauche pour le blessait, sans lui faire perdre son oeil. Et des tours comme celui-ci, Louis en avait fait plein. Les occasions sans son père se faisaient de plus en plus nombreuses jusqu'à ce que leurs pères finissent par rentrer un soir. Un soir où il n'aurait pas dû rentrer.

II. CE N'ÉTAIS PAS UNE ERREUR, C'ÉTAIT LA JUSTICE. LA SIMPLE ET BELLE JUSTICE.
C’ÉTAIT LA SEUL SOLUTION POSSIBLE.

A cette époque, il avait 16 ans. Le lycée ressemblait à une grosse blague et les seules préoccupations des jeunes étaient de vivre l'instant présent. Ils n'avaient besoin de rien d'autre. Une bouteille, peut-être un joint et la journée atteignait son sommet. Louis était comme n'importe quel adolescent de 16 ans : Plus insouciant que jamais. A la différence que Lous avait ce quelque chose en plus qui lui permettait d'échapper à tout problème : il était intelligent. A force de s'acharner depuis petit dans les études, il en avait appris des choses. Et pas le genre de choses qu'on trouvait dans un livre, non. Il avait eu le temps de regarder comment les gens se comportaient, comment ils agissaient. Du coup il arrivait à anticiper certaines choses et il planifiait toujours tout avant de faire quelque chose qui pouvait lui causer des soucis. Il n'avait jamais été du genre à se battre, en réalité il était bien trop calme et zen pour pouvoir se défendre soi-même face à un gros monsieur. Son pouvoir à lui, résidait toujours dans les mots et dans la vengeance. Il savait rendre la monnaie de sa pièce comme il le fallait et cela sans soucis. Il n'était pas assez costaud de toute manière pour se battre contre qui que ce soit.

Une chose était sûre, ce soir-là, il n'avait pas prévu ce qui s'était produit. Il était encore tôt avant que son père ne rentre de son travail et encore tôt avant que les autres arrivent des cours. Louis était rentré chez lui après avoir mangé à la cafétéria sous prétexte que le cours d'histoire était annulé. Il était loin le temps où ses études étaient sa priorité. Le petit dernier de la famille était rentrée plus tôt également. Ils se seraient battus dans la cour de récrée et son père l'avait ramené à la maison avant de retourner au travail. Il avait reçu un appel qui l'empêchait de rester surveiller ce petit vilain de dernier. Comme Louis était là, la charge lui revenait de le surveiller. Alors, le petit parti en courant se cacher dans sa chambre, sous son lit. Il espérait que Louis ait plus important à faire, mais non. Il était juste derrière, attrapant ses petites jambes, le tirant vers lui. Il avait beau se débattre il savait que ça ne servait à rien, Louis le tenait. Ils descendirent alors direction le garage où Louis ordonna à son petit frère de rester assis sur la table de ping-pong et de ne pas bouger. Louis cherchait les outils de son père. « - Tu préfères quoi ? La clé à molette ou les cisailles ? » Dit-il en faisant passer devant les yeux de son petit frère complètement effrayé les cisailles. C'était toujours un vrai plaisir de lire cette peur dans son regard. Il était si innocent, si naïf. Louis lui, n'attendait qu'une chose : c'était qu'il en finisse. Il ne voulait plus voir cette tête de gamin, ce regard et surtout quand il souriait. Quand il jouait, quand il riait. C'était insupportable.

En y pensant, il balança les cisailles contre le mur, énervé. Il voulait en finir, oui... il vouait qu'il disparaisse de sa vie comme il avait fait disparaitre sa mère de sa vie. « - On va faire un peu de jardinage, ça va être cool. » Il attrapa l'enfant qu'il traîna jusqu'au milieu du jardin. Il pris une pelle et creusa là où la terre était déjà retournée. Il y a quelque semaine les jumelles avaient tenté de faire un potager. Un échec. Du coup, elles prévoyaient d'y construire un petit abri. Peu importe, le petit dernier de la famille Dickens restait debout devant son grand-frère qui creusait. Une grande malle était posé à côté de lui, c'était celle de leur mère. Jadis elle y déposait des souvenirs, mais il y a quelque temps elle était vide et avait trouvé son refuge dans le garage. De ses gros yeux il essayait sans doute de savoir ce que Louis faisait, pourquoi surtout il creusait. Il essayait de comprendre. Il le comprit très vite quand Lous s'arrêta, qu'il leva les yeux vers lui et qu'il l'attrapa par son tee-shirt. Il balança le pauvre enfant dans la malle qu'il referma aussitôt, C'est fou ce qu'on peut faire en une après-midi. Parce que oui, son petit-frère était là, dans une malle, pleurant, essayant de sortir de là et Louis était là, aussi calme et impassible qu'il l'avait toujours été.

« - Prend une grosse respiration, on va voir dans combien de temps on arrive à te trouver. » Et il commença à reboucher le trou. Jusqu'à ce qu'on retrouve l'espèce de terre retournée que les filles avaient laissée. Mais c'était trop tard pour faire quoi que ce soit d'autre puisque le père de Louis venait d'arriver. Il ne n'avais pas tout vu depuis le début, mais il l'avait vu en train de remblayer la terre. Pourquoi ? Que faisait Louis ? Du jardinage ? Maintenant ?

Pour la première fois de toute sa vie, Lous paniqua. Il paniqua comme jamais il ne paniqua. Il resta, pétrifié, pelle en main, devant son père qui désormais parcourait la maison en hurlant le nom de son frère. Mais Lous ne bougeait pas. Il ne pouvait pas bouger. C'était trop dur pour lui d'admettre que cette fois, il était allé trop loin. Son père hurlait et secouait Louis qui lâchait enfin : « il est sous tes pieds, le vieux. »

III.  COMME UN CORBEAU, JE TE GUETTERAIS JUSQU'À LA FIN.
COMME UNE OMBRE JE TE SUIVRAIS POUR ETRE SE SOLEIL QUI T'EFFACERAS.

Ce qui se passa après, il ne s'en souvient plus très bien. C'est assez flou dans sa tête, peut-être parce que c'est un souvenir trop douloureux ? Où juste qu'une partie de son cerveau avait décidé de mettre ses souvenirs dans une boite « à ne jamais ouvrir. » L'avantage d'être de la famille d'un des fondateurs de la ville s'était qu'en pouvait étouffer ce genre d'histoire sans problème et ainsi personne n'en saurait rien. Si le père de Louis n'était pas venu à temps, le petit dernier de la famille serait probablement mort sous terre. Et Louis, peut-être qu'il le serait aussi. En réalité, entre le moment où il avait parlé et son réveil à l'hôpital, Louis ne se souvenait de rien et c'était mieux ainsi. Il ne se souvenait que de son père, qui avait pris la pelle, qui avait creusé comme jamais pour ouvrir la malle, parfois même à main nues. Il pleurait, hurlait à l'incompréhension pour finir par découvrir son dernier enfant à moitié dans les vapes. Quand il posa celui-ci doucement à terre, sûr qu'il ne lui arriverait désormais plus rien, il se retourna vers Louis et le frappa. Celui-ci ne prenait pas la peine de se défendre, il se laissait faire. Mais son père, lui, était en colère. Le genre qui vous fait faire des choses incontrôlables et qui vous poussait parfois à aller trop loin. Assez pour que Louis soit à quelques pas de la mort.

Après ça, le grand Arthur Dickens étouffa l'affaire pour que personne n'entende parler de cette histoire. C'était sans doute le plus gros secret de la famille. Il prétendit envoyer Louis à l'étranger pour ses études, mais en réalité celui-ci était enfermé dans la section psychiatrie d'une ville plus loin. Personne ne pouvait le voir, puisqu'on l'avait enfermé dans l'une des salles les plus enfouie de l'hôpital. Il ne voyait personne, en dehors de son psychiatre et ne sortait pas. Durant plus de huit ans, Louis resta là. Dans la même salle, sans jamais voir la lumière du soleil. De l'autre côté, son père disait qu'il était en Amérique, chez un membre de la famille et qu'il était major de sa promotion à Yale. Qu'il avait un cursus très dur, mais que c'était un génie. Il parlait de son fils tellement fièrement que tout le monde le croyait. Personne ne se doutait de la vérité. De ce que caché cette famille en vérité. Durant ses quelques années loin de tout, Louis avait eu le temps de réfléchir, mais aussi de grandir. Il pouvait mentir sans problème à son psychiatre lui faisant croire que tout allait bien, qu'il comprenait ses erreurs et qu'il devait désormais être quelqu'un de bien meilleur, mais au fond, il ne regrettait pas le moins du monde. Mais c'était long, terriblement long avant qu'on ne le laisse enfin sortir. Avec ses huit ans dans l'obscurité il avait cependant appris une chose : tout se joue sur la première impression. A partir de ce moment-là, Louis était devenu la personne idéale aux yeux de tous. Quand pour tous il était de retour chez lui, il avait 24 ans et c'était l'homme parfait. L'ami qu'on rêve tous d'avoir, le frère indulgent et aimable. La personne la plus compréhensible et gentille de toute la ville. Oui, En apparence. Louis était devenu un être parfait. On disait qu'il avait un grand coeur, qu'il était généreux. Son père ne lui parlait pas, ses soeurs ignoraient la vérité comme son petit frère. Il n'y avait que le plus jeune de la famille et son père qui était au courant de son « voyage » en asile.

Incapable de lui pardonner, le père de Lous se contentait de lui donner de l'argent et un poste à la rédaction du journal de la ville. Pour qu'on croit vraiment qu'il ait fait des études de journalisme. Et il lui demanda de ne jamais s'approcher d'eux. Que ses cinq dernières années n'avaient en rien effacé à la douleur et à la peine qu'il avait causée. Quant au dernier de la famille, il avait bien grandi depuis et le souvenir qu'il avait de Louis était loin d'être des meilleurs. Il avait juste acquiesçé de la tête, prenant l'argent et s'en alla. Il était encore jeune, mais savait ce qu'il avait à faire. Oui, il devait continuer à jouer le jeu. Faire croire qu'il était devenu quelqu'un de super, d'extraordinaire. Ses débuts dans le journal ne furent pas des plus simples. Il n'avait pas fait d'études et cela pouvait se voir quand il écrivait. Il aimait écrire et d'ailleurs il écrivait beaucoup. Mais en psychiatrie on ne lui avait pas donné de lecture assez importante ou encore de choses à faire pour améliorer ses capacités. Il n'y avait que des livres historiques et rien d'autre. Pas de roman, de nouvelle ou autre. Juste des livres d'histoire que Louis avait eu le temps de lire et relire. Par chance, avec un peu de temps il avait appris des choses du métier. Il s'était fait des amis, avait pris le temps de lire des choses, de faire des recherches. En une année, il avait appris assez de choses pour finir par écrire correctement des articles jusqu'à avoir sa propre chronique. Il alla même jusqu'à prendre la place du rédacteur de chef. A 26 ans, on le nomme officiel rédacteur en chef du journal et il est invité à chaque grande réception de la ville avec les personnalités les plus importantes. Mais son père n'aimait pas mentir. Tout le monde le félicitait pour son fils, mais à force cela le torturait. Ce qui le tortura d'avantage c'était que quelqu'un profite de cette situation pour se venger d'avoir été exclu de la société durant presque de 10 ans.

Oui, Louis n'avait pas donné son dernier mot et son père en avait peur.

IV.  IL FALLAIT BIEN QU'UN JOUR LA VÉRITÉ TE FRAPPE COMME LA MORT.
ET QUE CET MORT, CE SOIT MOI.

Un soir, il pleuvait fortement à Manchester. On conseillait à tout le monde de rester chez soi et d'attendre que cela passe pour éviter les accidents. Du coup, personne n'était dehors sauf Louis. Il savait que la pluie n'arrêterait pas son père et qu'il serait allé au travail, comme toujours. Même si des inondations risquaient de toucher la ville, Arthur était dans l'obligation de faire son métier et de gérer le secteur de la centrale électrique. Attendant dehors, Louis était debout devant la voiture de son père. Il n'avait pas pris de parapluie, il ne voulait pas s'encombrer de quoi que ce soit. Il attendait juste que son père soit là pour une dernière confrontation. Un dernier regard. Quand Arthur arriva, il fut assez étonné en voyant son fils aîné qui l'attendait. Il ne savait pas si il devait avoir peur ou pas, si il devait partir ou pas. Il se contenta d'entrer dans sa voiture sans faire attention, mais Louis n'avait pas attendu pour rien. Alors, il fit le tour et entra également.

« - Qu'est-ce que tu crois faire ? » Lâcha-t-il enfin alors qu'il tourna et sorti du parking. Louis se contenta d'attendre. Il attendait un endroit précis avant de parler. Oui, un panneau. Lorsque le panneau indiquerais « Tourné à droite pour sortir de la ville » alors à ce moment. Il parlerait. Il ne savait pas pourquoi, mais il devait attendre ce moment-là. Peut-être pour qu'une partie de lui rompe le silence qui s'était installé depuis le début ? Comme un signe. « - Je ne lui pardonnerais jamais. » Son père arrêta la voiture aussitôt. Il sortit alors, devant le regard incompris de Louis et alla devant sa portière pour le faire sortir de force de la voiture. Il plaqua son fils très durement contre la porte qu'il venait de refermer et le regarda droit dans les yeux. « - Tu ne lui pardonneras jamais ? C'est ton petit frère bon sang ! Il n'ait pas responsable pour la mort de ta mère ! Tu es responsable ! Toi et Toi seul ! C'était pour toi qu'elle voulait rentrer plus tôt de notre week-end ! Pour toi qu'on a pris la route tard et que ce foutu camion nous a foncé dessus ! Pour toi et seulement toi ! » Louis le regardait avec les yeux d'un enfant qui ne comprenait pas. Quel accident ? De quoi parlait-il ? Qu'est-ce que c'était que cette histoire ? Un mensonge pour protéger son petit frère, c'est ça ? « - Tu mens. » lâcha-t-il. Son père qui le tenait toujours par les épaules, le secouait une nouvelle fois avant d'hurler. « - Mais bordel, tu l'as appelé ce soir-là, tu étais jeune tu dois plus t'en souvenir, mais tu nous avais appelé alors qu'on était chez ton oncle. Tu pleurais comme une merde que ta mère te manquer et que tu n'arrivais pas à dormir parce que tu avais peur que le loup vienne te manger ! Ta mère était enceinte de huit mois et à cause de toi... à cause de... » Les larmes coulaient toutes seules. Son père lâchait prise petit à petit, s'éloignant de Louis qui avait les yeux grand ouvert comme si soudain il comprenait un tas de choses. Une illumination.

« - Tu mens ! Tu mens ! » Louis poussa d'un coup sauvagement son père, cette fois c'était lui qui ne se contrôlait plus. Il refusait qu'on lui mette tout sur le dos alors qu'il n'avait rien fait. Il se souvenait pourtant de cet appel. C'était vrai que son oncle avait invité ses parents pour un week-end, c'est vrai que Louis les avaient appelés tard le soir, quand la vielle voisine s'était endormit. C'était vrai que sa mère n'était plus jamais revenue après ça. Il refusait cependant d'y croire. Son père reprenait ses esprits, se tenant droit comme un pique devant son fils.« - Tu l'as tué. » Louis leva les yeux vers son père. Non, c'était faux. C'était faux. Il lui sauta dessus le cognant sans se retenir, comme lui avait fait ce jour-là dans le jardin. « - Tu mens ! Tu mens ! »Tout en le frappant, il hurlait et pleurait. Il se sentait si minable, si horrible et il ne remarquait pas qu'il était en train de tuer son père. Oui, il ne le remarqua que lorsqu'il s'arrêta, les mains pleines de sang, assis sur son père. A ce moment-là, la pluie cessa de tomber. Jusqu'à ce qu'il arrête tout simplement de penser, il resta là. Il regardait son père comme si ce n'était pas lui. Comme s'il ne l'avait jamais frappé, touché voir même vu. Il se leva alors, manquant de peu de retomber, mais la voiture était derrière lui pour le retenir. Il regarda ses mains et ce fut comme une révélation. Il essuya ses larmes et pris une grosse respiration malgré l'odeur du sang qui l'entourait. Il souleva le corps de son père et le replaça dans la voiture. Coupa quelques fils sous le capot et lança le moteur. Il laissa tourner et commença à s'en aller.

Louis Dickens marchait doucement, mais la tête haute. Il marchait tout en suivant la route. On pouvait voir la voiture derrière. Les traces de freins. Et puis d'un coup, une explosion. Mais Louis ne bougeait pas. Il se contentait d'entrer dans la forêt et de rentrer chez lui.

V.  DANS SA PURETÉ QU ÉTAIT SIENNE, JE PRIAIS POUR NE PAS ETRE LA TACHE DE SANG QUI SOUILLERAIS SA VIE.
OUI, JE PRIAIS.

Depuis Louis n'est plus le même. Lui qui se plaisait à faire croire à tout le monde qu'il était quelqu'un de bon était au final vraiment devenu quelqu'un de bon. Cette apparence qu'il avait donnée, il se l'était approprié. Comme pour effacer toutes ses erreurs, il se contentait désormais d'être quelqu'un d'honnête et de bon. Personne ne savait qu'il avait tué son père, ils croivent tous à un accident. L'enterrement fut douloureux, mais Louis n'y assista pas. Il n'arrivait pas à croire que c'était lui qu'il l'avait tué. Il n'arrivait pas à se pardonner et jusqu'à ce qu'il y arrive alors, il n'irait pas devant sa tombe. C'était trop difficile d'y aller. De savoir qu'on est coupable d'autant d'horreur dans une si petite vie. Louis voulait être quelqu'un de bien, pour échapper à cette facette de lui qu'il haïssait désormais. Il avait alors envie d'une vie simple, sans problème. Mais c'était bien trop demandé pour lui. Une chose était sûre, il avait peur de recommencer. De refaire du mal à quelqu'un. C'est sans doute ce qui le poussa à mettre un mur entre lui et le monde extérieur. Il était ouvert, mais jamais il ne dépassait une certaine limite.

En étant rédacteur en chef, il avait désormais une bonne place et en étant l'ainé de la famille Dickens, il avait également la responsabilité de ses frères et soeurs. Mais il savait que les jumelles et ses petits frères étaient grands maintenant et qu'ils n'avaient pas besoin de lui. De toute manière, il entretenait une relation difficile avec chacun d'entre eux depuis ses « études » à l'étranger. Ce qui risquait d'être plus dur était sans doute d'affronter le petit dernier de la famille. Mais ce n'était pas le plus important. A maintenant 27 ans, Louis était aussi respecté qu'apprécier. Il avait fait son petit bout de chemin et on l'avait acclamé en rédacteur en chef. Son travail était récompensé et il avait parfois l'impression d'avoir réussi à effacer d'un trait son passé grâce à cette acharnement. On ne l'av jamais vu s'énerver en trois ans. Pas une seule fois il n'a jamais hurlé contre quelqu'un ou pour quelque chose. Il a toujours sur gardé son sang froid ce qui est très étonnant.

Il vivait à Manchester, dans le centre. Assistait à de nombreux évènements, tout en restant seul. Il faisait du basket le vendredi soir et du jogging le mardi. Il s'acharnait au travail, se disant que pour l'instant il avait encore du mal à croire que la vie était belle. Il préférait s'occuper l'esprit plutôt que de se heurter à un mur. En bref, cette vie simple qu'il voulait, il l'avait presque trouvé.


On dit que le chemin de la rédemption est long, obscur et parsemé d'obstacle. Celui qui souhaite réellement se racheter auprès des siens, possède un coeur qui n'attend que de fondre sur cette route glacée. Derrière chaque bête se cache une humanité, perdu dans un brouillard de haine. Derrière chaque homme se cache une bête, attendant un signe pour frapper. Au final, chacun prendra ce même chemin, à la recherche de sa liberté..



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Prénom/Pseudo : Elodie/Elow. ✚ Âge : 21 ans ✚ Avatar : Andrew Garfield ✚ Ton avis sur Around The Lie : Je l'aime ce forum  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. 1011564188  ✚ Autres : Anciennement connu pour Edward (Zach Roerig)  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. 997735 .


Dernière édition par Louis Dickens le Lun 16 Sep 2013 - 16:18, édité 16 fois
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Nolan Steadworthy

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MessageSujet: Re: LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges.  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. EmptyDim 15 Sep 2013 - 21:48

Rebienvenue parmi nous mister I love you
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Louis Dickens

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MessageSujet: Re: LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges.  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. EmptyDim 15 Sep 2013 - 21:57

Merci Nolan ! :-)
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MessageSujet: Re: LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges.  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. EmptyLun 16 Sep 2013 - 14:28

bienvenue  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. 227216 
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Louis Dickens

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MessageSujet: Re: LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges.  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. EmptyLun 16 Sep 2013 - 14:37

Merci  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. 585234 
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Winona Hooper

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MessageSujet: Re: LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges.  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. EmptyLun 16 Sep 2013 - 14:43

 LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. 55139 Edward va me manquer mais j'adooore déjà Louis !
WELCOME BACK DARLING  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. 435344 
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MessageSujet: Re: LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges.  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. EmptyLun 16 Sep 2013 - 14:55

Avant de te valider, j'aimerais que tu corriges tes fautes  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. 227216  il y en a de très gênantes pour la lecture... Puis tu passes du passé au présent et reviens au passé, c'est parfois difficile à suivre...
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Louis Dickens

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MessageSujet: Re: LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges.  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. EmptyLun 16 Sep 2013 - 16:21

Merci Jules  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. 227216 

Je m'en occupe Nolan. Normalement, j'ai déjà tout passé sous Bonpatron, mais y'a toujours des choses qui m'échappe Smile

EDIT: Voilà, je viens de tout relire, repasser sur BonPatron. Je ne vois pas ce que je peux faire de plus.
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Ambre Wellington

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MessageSujet: Re: LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges.  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. EmptyLun 16 Sep 2013 - 18:32

Bienvenue parmi nous. I love you
Je laisse Nolan s'occuper du reste de ta validation.
PS : Garfield, garde moi un lien.  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. 3265981769
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Louis Dickens

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MessageSujet: Re: LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges.  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. EmptyLun 16 Sep 2013 - 18:59

Merci Ambre :-) J'vais avoir du mal à t'imaginer autrement qu'avec Mila (me semble que c'était Mila Kunis Very Happy), mais Emma te va à ravir :p Je te réserve un lien  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. 595818 
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Nolan Steadworthy

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MessageSujet: Re: LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges.  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. EmptyLun 16 Sep 2013 - 19:23

Il y a encore des fautes assez gênantes mais je te valide I love you  essaie de faire attention à tes conjugaisons dans les rps  LD ▲ La vie est un voile obscure tissée de mensonges. 227216 
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