✚ Nom : davis. ✚ Prénom : mason ashley. ✚ Âge, date et lieu de naissance : 29, le /../1984 à Woodstock, Canada. ✚ Statut : en couple. ✚ Nationalité : anglaise et canadienne . ✚ Métier/Études : reporter devenu journaliste récemment. ✚ Groupe : Honesty is all that matter..

Quelle est pour vous la signification du mot "mensonge" ? ✚ Mensonge, nom masculin : Sens  Assertion contraire à la vérité, énoncée pour tromper. Le mensonge (est l'énoncé délibéré d'un fait contraire à la vérité, ou encore la dissimulation de la vérité. Mentir consiste à déguiser sa pensée dans l'intention de tromper. Cette intention distingue le mensonge d'autres usages faux de la parole, admis dans le but de tromper autrui. Le mensonge peut être inspiré par des émotions ou par plusieurs autres facteurs psychologiques ou environnementaux. Les facteurs environnementaux incluent l'hypocrisie, l'amour de soi ou l'appât du gain. Émotionnellement, ils incluent peur, abandon, injustice, trahison ou humiliation. En amour, c’est exercer un abus de pouvoir avec le risque d'abuser de l'ignorance ou de la faiblesse d’autrui qui ne pourrait pas supporter la vérité. La politesse peut toucher dans certains cas au mensonge : les discussions entre voisins que l'on affecte de trouver passionnantes pour ne pas vexer. Tout le monde le fait par diplomatie. L’importance d’un mensonge dépend simplement de l’impact que cela peut avoir dans une relation humaine. Toute relation conjugale profonde doit comporter par respect de l'autre ce type de mensonge officieux.

Quelles raisons vous poussent à ne pas mentir ? ✚ Personne n’a jamais pu se retenir de mentir une seule fois dans sa vie mentir, la plupart des êtres humains sont pates des petits mensonges : sur la qualité d’un plat, d’un devoir non fait... D’autre eux pratiquent le mensonge à l’état pur, pour valoriser sa personne, pour dissimuler la vérité. Mason fait simplement partie de la première catégorie de personnes, il est partit sur le principe que mentir, hormis valoriser sa propre personne, cela ne sert à rien. Bien qu’il lui arrive d’avouer des choses qui sont fausses, ce n’est pas intentionnellement mauvais. Le seul impact qu’ont peu avoir ces mensonges à cet instant, c’est qu’il est venu plutôt rejoindre sa bien-aimée. Il est franc mais pas offusquant alors parfois, il le sait, par respect et diplomatie il préférable d’user l’art du mensonge. Cependant Mason, marche sur le chemin de la franchise, simplement que le mensonge amène à la trahison, chose qu’il n’accepte pas.

Comment réagissez-vous face à des personnes vous mentant ? ✚ Il réagit du mieux qu’il peut, Robin lui a toujours fait remarquer qu’il devient intolérant face aux personnes qui mentent constamment. Elle leur trouve une raison, tandis que lui est incapable d’en trouver une. Alors oui, il est peut être intolérant face à ce genre de personnes, il leur rie au nez, s’énerve contre eux ou les ignorent tout simplement. Il n’accepte pas qu’on lui mente, tant que le mensonge est un impact trop important : pour se voilé la face et cacher de grave erreurs, de se vanter de fait jamais accomplie. Il facile d’embellir sa vie, sa conscience avec le mensonge. Mason a simplement du mal à tolérer ce genre de personnes, par principe, et surtout pour Robin. Il dissimule son désaccord avec ce genre de personne, rentrant lui-même dans une phrase du mensonge, ou plutôt de diplomatie.  


✚ Il est assis là depuis quelques minutes ou bien est-ce des heures, il n’en sait rien, se réflexion lui a fait perdre la notion du temps, ou bien est-ce le nombre de verres qu’il a bu. Qui sait ? Ce sont peut-être simplement les deux raisons réunis qui le pousse dans un silence, état végétatif. Ses yeux n’ont pas bougé du contenu de son verre qui se vide trop vite, un regard au barman et le vide de son verre n’existe plus. Un soupir traverse la barrière de ses lèvres, ses doigts sont envahis par un léger tremblement. L’énervement coule dans ses veines, sa main glisse dans sa nuque. Une personne s’assoit à ses côtés, ses yeux croisent les siennes, et d’un léger sourire il salue cet inconnu. Son regard accusateur ou bien intrigué, pousse Mason à ouvrir la bouche, ou mourait-il simplement d’envahie de se confier à quelqu’un. « Vous savez.. » il semble réfléchir à ce qu’il puisse bien dire maintenant que les mots ont franchis ses lèvres. «J’ai toujours mal jugé les personnes qui mentent, mais avec le temps je crois en être devenu un, ou en était-je depuis le début. » un rire nerveux vibre dans sa gorge, ses prunelles assombries par l’alcool se posent doucement sur l’inconnu. « J’ai mentis quelques fois à Robin, sur le fait de genre de personne que j’ai pu être avant que je l’ai rencontré, qu’à un moment j’ai hésité entre ma passion et notre amour. Je n’ai jamais eu de doute pour mes sentiments mais, vous savez lorsqu’il est question de choix, on hésite. On craint de prendre la mauvaise décision. Est-il normal que j’ai mis du temps à choisir entre ma carrière et ma relation avec elle ? J’aurai sans doute pu être là un an plutôt, à ses côtés, cesser de la faire languir. Je n’ai jamais réussi à lui dire que si j’avais voulu, tout ce foutoir aurait pu s’arrêter bien plus tôt. » Il se stoppe, un sourire causé par sa nervosité, ou un sentiment similaire. Une certaine lueur de désespoir nait dans ses prunelles, doute et vulnérabilité, sentiment qu’il ne l’émerge habituellement pas. Sa main glisse sur son visage, par espoir que ce geste le ramène à la raison ou lui éclaircisse les idées. « Il est dur d’admettre que la femme que l’on aime nous mente, j’essaye de croire aux raisons qu’elle me donne mais… je ne peux pas. » il ferme ses yeux un instant, qui pour lui dure une éternité. Il pose son verre vide sur le comptoir, il se redresse, essaye de dégager ces mauvais sentiments. « Je vous offre un verre pour avoir écoutes mes plaintes. »  Un sourire qui dissimule la vérité, Mason a fini par se mentir à lui-même de l’ampleur de la situation.

✚ Woodstock
Ses prunelles se posent sur cette pièce à moitié vide qui était autre fois sa chambre, l’endroit où il grandit, vécu tellement longtemps, toute son enfance, son adolescence. Maintenant il quitte cette pièce, sa maison, sa famille. Son ambition a été trop grande pour qu’il reste avec ses parents, le journalisme passe avant tout. Il allait tout quitter, rien ne pouvait l'arrêter, l'un des pires défauts de Mason, pour atteindre un but il est prêt à sacrifier n'importe quoi, même l'amour de sa famille. Elle n'a jamais voulu qu'il se lance dans cette branche, car ses parents savaient qu'il n'a aucune limite et qu'il est prêt à tout. Le voir faire ses bagages, en se demandant quand ils le reverront. Dans un, deux ans ou peut-être plus. Ils l'observaient comme s'ils n'allaient plus jamais le revoir, sa mère ne cessait de caresser les traits du visage de son fils et lui chuchotait qu'il n'était pas obligé de partir aussi loin d'eux. Même s'il partait que pour Toronto, il ne reviendra jamais se perdre à Woodstock, il ne sera que de passage. Sa mère aurait tant aimé qu'il finisse comme son père, un grand chirurgien, elle n'a jamais réussi à lui mettre cette idée en tête. Lui, a toujours préféré partir, loin, toujours plus loin, vivre de nouvelles expériences, montrer au monde tout ce qu'on leur cache. « Si tu quittes cette maison tu ne seras plus le bienvenu. » ont été les mots de sa mère. Avec uniquement deux sacs en mains et son fidèle sourire, il a embrassé sa mère sur la joue, s'excusant qu'elle devait lui dire au revoir aussitôt. Pour sa mère voir son seul et unique fils partir a été l'une des pires déchirures, car elle sait tout simplement que son fils n'est pas l'homme qui donne de ses nouvelles. Il a pris si vite son indépendance, qu'elle ne l'a pas vu grandir et ni eut le temps de le retenir qu'il était déjà part vivre sa propre histoire. Malgré les mots qu'elle a pu prononcer, elle a laissé intact la chambre de son fils dont le lit était systématiquement fait, prêt à accueillir son fils le jour où il reviendrait. Et elle a été la première à l'appeler, à donner de l'argent à son fils, car elle sera à jamais sa mère malgré les décisions qu'il a pu prendre, elle lui pardonnera toujours.

Toronto
« Je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi passionné que toi. » ses doigts viennent glisser dans sa nuque pour le décontracter. Elle vient s’asseoir sur ses genoux, prenant son visage entre ses mains. « Tu es près à me quitter pour ça n'est-ce pas ? » leurs prunelles se défient, il lui sourit légèrement pour la rassurer de la réponse qu'il allait lui fournir. Mais avant, il s'est mis à réfléchir calmement de tous les sacrifices qu’il avait commis, et tout ceux qu'il commettra,  pour en arriver là où il en est. En dernière année d'études de journalisme avec un an d'avance, il a dû quitter là où il avait grandi, n'ayant que rarement ses parents par téléphone, des relations amoureuses quasi-inexistantes, de la compétitive sans relâche, les amis se comptent très peu dans ce domaine, il ne laisserait aucun élément le ralentir, même une relation intime. Ses yeux se baissent, ses mains quant à elles se placent de part et d'autres des hanches de la brune. « Tu connais la réponse. » dit-il en venant poser ses lèvres sur son menton, elle sourit, elle savait les risques à prendre en s'engageant avec lui. « J'ai envie de te l'entendre dire. » dit-elle, sans doute pour se faire une raison de le quitter. Mason la dévisage, et finit par hausser les épaules, désolé qu'ils n'aient pas les mêmes priorités. « Oui. » elle lâche un soupire collant son front au sien.

« Voilà donc arrivé le moment où tu me quittes. » il ne peut que lui offrir un sourire au défaut de ne pas pouvoir l’aimer comme elle l’aurait voulu. A cette époque il ne croyait pas au grand amour, il l’a aimé mais maintenant qu’il est temps pour lui de s’envoler autre part pour commencer sa nouvelle vie de journaliste. Il est désormais tant qu’elle fasse partie de son passé, il a dit adieu à un bon nombre de personnes depuis qu’il est né. Et d’année en année il s’est habitué à cette légère douleur que cela peut produire, après tout il est, la plupart du temps, le seul fautif. C’est lui qui partait, laissant les gens qui l’aiment derrière lui. Il ouvre la bouche pour formuler des excuses sincères, mais elle lui en empêche en plaçant ses doigts sur ses lèvres. « Ne t’excuse pas. Je savais que c’était le prix à payer pour être avec toi. » Il la regarde avec tendresse, il lui est interdit d’avoir une telle lueur dans son regard, elle se retient de pleurer et lui vient vers elle pour l’embrasser une dernière fois. « Ne vient pas à mon départ. » lui dit-il, il pose ses lèvres sur sa joue pour la quitter un instant après, sans grand remords, si, il regrette qu’elle l’est tant aimé. Mason a quitté son pays d’origine si facilement pour l’Angleterre, pourquoi se perdre dans ce pays ? Car il avait eu l’opportunité de vivre enfin sa propre aventure.

Manchester

Ses lèvres parcourent son corps brûlant de désir, ses mains caressent ses courbes délicates, il sent ses ongles s’enfoncés dans sa peau. Il a tellement attendu pour toucher enfin ce corps, sentir sa peau sous ses mains. Il l’a tout de suite remarqué cette demoiselle au sourire parfait, il l’a voulu pour lui sachant que quelque chose en lui l’empêchait d’aimer pleinement. Mais désormais le corps, les mains, l'odeur de cette sulfureuse blonde avaient un pouvoir sur lui. Il refusait toujours de le reconnaître, par fierté. Il s'était approché de la blonde de pour l'acculer contre le mur en posant ses mains sur ses épaules. Son visage allait à la rencontre du sien. C'était trop tôt pour qu'il tombe amoureux d'elle. Les mains du brun venaient se balader sur son corps, caressant chaque centimètre qu'il avait à portée de main en soulevant les tissus gênants, dégrafant un à un les boutons. Leurs corps sont rentrés dans cette danse ardente envahie par ce plaisir ardent. Rien ne pouvait les arrêter. Une telle passion avait envahie le jeune journaliste, c'était impossible d'être autant enivrer par une personne.

Ses doigts effleurent sa peau à moitié nue, épousant les courbes de son dos avec ses doigts. Il admire simplement la beauté de cette femme, il l'a connait depuis si peu de temps mais il en est déjà fou. Lui qui riait au nez des autres lorsqu'ils parlaient de grand amour, le voilà pris au piège. Il n'a guère l'habitude d'admiré une femme lorsqu'elle dire à ses côtés, il n'a jamais été du genre romantique. Ses doigts caressent les traits de son visage assoupi, enivré par ce sentiment qui le rend meilleur. Un sourire sur ses lèvres, et il ferme à nouveau ses yeux par crainte de perdre ce moment. Et elle est venue se pendre à son cou et elle a commencé à déposer des baiser sur ses lèvres, il n'a pas pu s'empêcher de la serrer contre lui. Elle sourit et se colle un peu plus à lui. Il est incapable de la lâcher désormais les dès sont jetés, c'est certain il l'aime.
C'est lorsqu'il a accepté de partir qu'il mit sa relation en péril, il aurait pu refuser en avouant qu'il ne voulait pas partir aussi loin, aussi longtemps. Mais, que voulez-vous la raison a parlé. Et il a embrassé Robin, la quittant pour la première fois. « Je reviendrai toujours vers toi. » son visage entre ses mains il l'embrasse une nouvelle et dernière fois, ne lui avouant certainement pas que c'est lui qui avait décidé tout ça, bien que l'intérêt de son métier était de partir, trop loin. Ce n'était que son premier départ parmi tant d'autre, le premier adieu est loin d'être le dernier, ce n'était que le début d'une panoplie de voyage. Des allées et venues, parfois uniquement de quelques jours, et il repartait réussissant à cacher sa peine mais pas à la faire taire. A chaque fois qu'il la quittait il avait l'impression de laisser une partie de lui-même où il la laissait. Il craignait qu'un jour elle lui dise qu'elle ne pouvait plus supporter tout ça. Qu'elle lui dise stoppe et le quitte.

Enfin leurs langues se retrouvent, leurs corps peuvent enfin se toucher. A chaque retrouvaille il y avait tant de passion et d'amour. Ils laissaient tous deux l'impression de ne pas pouvoir vivre l'un sans l'autre, pourtant Mason s'éclipsait toujours mais à chaque fois il revenait vers elle avec l'impression qu'il était encore plus amoureux d'elle « Je t'aime. » ses doigts caressent son visage, quand il est avec elle il ne veut plus la quitter, rester avec elle pour toujours. Il était tant pour lui d'arrêter de partir, d'arrêter tout ça pour elle. « Je quitterai tout pour toi. » lui disait-il souvent, mais dès qu'on lui proposait une mission, il partait. Cela a assez duré, se disait-il. « Arrête. » lui dit-elle en poussant son visage de ses mains, il sourit amusé engouffrant sa tête dans le cou de sa petite-amie. « Tu es fou amoureux de moi pas vrai ? » lui dit-elle en se collant un peu plus à lui « complètement. » il pose ses lèvre sur son front et se lève. Il se tourne vers elle avant de quitter la pièce, il l'aime à en mourir.

« Tu es l’un de mes meilleurs éléments, c’est la dernière fois que je te le demande part en Australie, j'ai besoin de toi là-bas. » un dernier voyage, rien qu'une dernière fois. La tentation est tellement forte, mais Mason essaye de trouver une raison de ne pas y aller : Robin, elle l'a trop souvent attendu pour qu'il parte de nouveau. Il peut tout arrêter à cet instant, dire qu'il ne veut plus partir que désormais tout ça c'est fini, il a envie de le dire mais. « Pour combien de temps ? » dit-il avec un léger sourire, réfléchissant encore au problème. S'il n'est question de quelques mois il l'accepterait et ne dirait rien à Robin sur ce fait, que c'était une obligation et non un choix. « Pas plus d'un an. » son regard se baisse, c'est foutu, son patron entame son épilogue sur toutes les bonnes raisons d'y aller. « Je te laisse trois jours pour te décider pas plus. » finit-il par dire, Mason se lève, il avait trois jours pour choisir entre son couple et son travail. Rien qu'une dernière fois s'est-il dis avant de rentrer dans le bureau de son patron. « J'accepte. » il a fait son choix. Il a mentit à Robin en affirmant qu'il était obligé d'y aller, compréhensive elle lui sourit. « Je te promets que c'est la dernière fois que je te quitte. »

Il est revenu plus tôt, pour elle car elle lui manquait trop, il était trop souvent partie la laissant derrière lui. Désormais tout ça c'est fini, il l'a enfin choisi. Pour la première fois, Mason a opté pour sa vie privé à sa vie professionnelle. Robin se rend ait elle compte de ce que cela pouvait signifier ? Mason ne se pose jamais ce genre de question, il se contente simplement de l'aimer, de pouvoir la serrer contre lui dès qu'il le voulait. Il n'y avait plus aucun kilomètre qui les séparait, ils étaient enfin réunis. « Je ne te quitterai plus jamais. » lui a-t-il susurré à l'oreille entre deux baisers. Mason est complètement amoureux d'elle, trop peut-être.

C'est un soir en rentrant chez lui, que l'une de leurs voisines l'a interpellé. Il la salué en souriant. « Vous savez Mason, je vous apprécie beaucoup mais.. » il la regarde amusé de ce qu'elle pouvait bien lui dire, intrigué il attend qu'elle finisse sa phrase. « Durant votre absence, un homme est venu très souvent chez vous pour voir Robin. Ils semblaient si proche. » il fronce les sourcils, perdant légèrement son sourire. « Ce n'est peut-être rien mais j'en doute fort. » le regard de Mason s'éteint une minute, un doute surplombe son esprit, il essaye de trouver une réponse pour l'éteindre mais... rien ne vient, il a remarqué un changement dans le comportement de Robin, qu'elle est différente avec lui. Mason sait qu'elle lui ment sur la raison de... Impossible, ils s'aiment trop pour qu'elle puisse commettre un tel acte. Un léger sourire sur ses lèvres. « C’est son frère. » ment-il aussi naturellement que possible. Il sourit pour se rassurer lui-même et il s'en va. Il est resté des heures là, à réfléchir à cette hypothèse, jusqu'à ce qu'il entende la clef tournée dans la serrure, il se redresse cache son désarroi. « Chérie. » et il vient l'embrasser pour l'accueillir, il plonge ses prunelles dans les siennes. Un silence demeure jusqu'à ce qu'elle demande ce qu'il ne va pas. « Je t'aime tu sais. » serait-il alors possible Robin sa Robin le trompe sous son nez, et lui trop amoureux ne voit que du feu ? est-elle capable de le tromper ? d’en aimer un autre que lui ? can’t be. Les voilà réunis, bien que les kilomètres ne les séparent, mais un fait les éloignent peu à peu. Ne peuvent ils pas être heureux comme Mason l'avait espéré?